Le coût de la compromission de données a fortement augmenté selon une nouvelle étude réalisée par l'Institut Ponemon pour le compte de Symantec. Pour la
troisième année consécutive, le coût par perte ou vol de données ainsi
que le coût total pour les entreprises françaises ont augmenté. Le coût
moyen par données compromises est passé de 98 euros en 2010 à 122 euros
en 2011.
Le coût total moyen de la compromission de données pour les entreprise a augmenté de 2,20 millions d’euros à 2,55 millions d’euros millions soit une augmentation de 16 % des résultats entre 2010 et 2011.
Plus de clients abandonnent l'entreprise suite à la compromission de données : le taux de désabonnement dans l'étude de cette année a augmenté. Le taux de désabonnement moyen est passé de 4,1 % en 2010 à 4,4 % cette année. Cependant, certaines industries du secteur financier et des entreprises de communications sont plus sensibles à la perte de clients, ce qui provoque l’augmentation de leurs coûts de compromission de données qui sont plus élevés que la moyenne.
Les malveillances ou attaques criminelles restent les principales sources de compromissions de données, 43 % des organisations françaises l’annoncent contre 38 % en 2010. Ces types de compromissions sont aussi les plus coûteuses. 30 % des compromissions ont impliquées des employés négligents ou des prestataires avec 26 % qui disent que c’est un problème informatique ou une défaillance des processus métiers
Les coûts liés à la perte de business ont augmenté de 688779 euros en 2010 à 782749 euros en 2011. Ce sont les coûts les plus élevés rapportés depuis la première étude des coûts de compromissions de données en 2009.
Certaine décision organisationnelle ont un impact sur le coût global de compromission de données. Si l'organisation dispose d'un RSSI avec une responsabilité de protection des données d'entreprise alors les coûts moyens d'une compromission de données peuvent être réduits (moins 63 euros par donnée compromise).
À la suite d'un premier incident, les entreprises se tournent plus facilement vers des mesures préventives telles que le chiffrement (37 %, soit une hausse de 9 %), le DLP (Data Loss Prevention pour 30 % soit une croissance de 12 %) et des systèmes de surveillance de la sécurité.
Le coût total moyen de la compromission de données pour les entreprise a augmenté de 2,20 millions d’euros à 2,55 millions d’euros millions soit une augmentation de 16 % des résultats entre 2010 et 2011.
Plus de clients abandonnent l'entreprise suite à la compromission de données : le taux de désabonnement dans l'étude de cette année a augmenté. Le taux de désabonnement moyen est passé de 4,1 % en 2010 à 4,4 % cette année. Cependant, certaines industries du secteur financier et des entreprises de communications sont plus sensibles à la perte de clients, ce qui provoque l’augmentation de leurs coûts de compromission de données qui sont plus élevés que la moyenne.
Les malveillances ou attaques criminelles restent les principales sources de compromissions de données, 43 % des organisations françaises l’annoncent contre 38 % en 2010. Ces types de compromissions sont aussi les plus coûteuses. 30 % des compromissions ont impliquées des employés négligents ou des prestataires avec 26 % qui disent que c’est un problème informatique ou une défaillance des processus métiers
Les coûts liés à la perte de business ont augmenté de 688779 euros en 2010 à 782749 euros en 2011. Ce sont les coûts les plus élevés rapportés depuis la première étude des coûts de compromissions de données en 2009.
Certaine décision organisationnelle ont un impact sur le coût global de compromission de données. Si l'organisation dispose d'un RSSI avec une responsabilité de protection des données d'entreprise alors les coûts moyens d'une compromission de données peuvent être réduits (moins 63 euros par donnée compromise).
À la suite d'un premier incident, les entreprises se tournent plus facilement vers des mesures préventives telles que le chiffrement (37 %, soit une hausse de 9 %), le DLP (Data Loss Prevention pour 30 % soit une croissance de 12 %) et des systèmes de surveillance de la sécurité.
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